
Le problème, M. Taillon, est que vous n'avez pas réussi à museler vos adversaires après votre victoire. Vous les avez écartés, comme s'il n'existait plus. Pire, vous les avez crus lorsqu'ils ont dit qu'ils se rangerait derrière vous. Ils l'ont fait, avec un poignard bien aiguisé. Dans un caucus à six, il est facile de créer une alliance de mécontents; deux neutres, deux pours, deux contres et le bordel est pris!
Vous auriez dit: Caire est un mauvais perdant, il ne pense qu'à sa personne plutôt qu'aux intérêts du parti, ç'aurait passé. Mais là...
Vous trouverez, peut-être, des alliés à votre cause ici: